vendredi 28 février 2014

Une chronique de Carine

Pour son blog Le noir émoi


La goutte d’Or, l’un des quartiers les plus pauvres de Paris est malheureusement plus connu pour sa prostitution et son trafic de drogue. Ces derniers temps, il est également devenu le terrain de jeu d’un tueur en série. Rapidement le commissaire Kuhn établit un parallèle avec Jack l'éventreur, mais l’enquête piétine faute d’indices. Jusqu’à ce que celui que la presse a baptisé « L’éventreur de La goutte d’Or » fasse en sorte que l’on retrouve sa trace…

Depuis de nombreuses années, les crimes de Jack l'éventreur ont suscité l’intérêt de bien des hommes. Aujourd’hui, c’est Nils Barrellon qui s’est inspiré du mystérieux et célèbre tueur en série pour son premier roman LE JEU DE L’ASSASSIN.

Débuter un roman n’est pas chose aisée (je confirme !). Avec « un délit de fuite » particulièrement poilant, Nils Barrellon m’a cueilli(euh, je crois qu'il faut un E chère Carine, non ? Bah, je vous pardonne, moi aussi j'en fais ;-)) dès les premières pages. Une accroche attrayante qui annonce la couleur quant à la suite du roman…

Mais humour et thriller font-ils bon ménage ? (Excellente question) En l’occurrence, oui ! (Excellente réponse) Et sans hésitation. L’auteur allie humour et finesse pour nous embarquer aux côtés de son « héros » Nils Kuhn, un impayable commissaire qui nous ravit avec ses bons mots tout du long (je rougis... Merci merci merci)

Écriture simple mais efficace à l’image de son intrigue, LE JEU DE L’ASSASSIN repose sur un juste équilibre dans lequel thriller et humour s'entremêlent habilement.

Avec LE JEU DE L’ASSASSIN, Nils Barrellon accomplit de manière manifeste sa volonté, celle de faire passer deux ou trois heures agréables à son lecteur… (Pas d'autre ambition, il est vrai) Une bien jolie découverte (Merci beaucoup Carine, puisse votre engouement faire envie au plus grand nombre ;-))

dimanche 16 février 2014

La critique de Sandra

vendredi 14 février 2014

Une fine analyse...



La couverture (plutôt réussie) de Le jeu de l’assassin ainsi que le résumé au dos du livre laissent présager un pur thriller. Un tueur en série, un flic qui le traque, bref, une formule classique que l’on aime.

Pourtant, réduire ce texte à cela serait passer à côté de ce qui est à mes yeux l’intérêt principal du récit (exact ! et d'ailleurs, perso, je n’aurais pas appelé ça thriller mais plutôt policier ;-))

Je m’explique, Nils Barrellon choisit d’emprunter aussi bien au thriller qu’au polar. L’atmosphère du 36 est très bien retranscrite. Les connaissances de l'écrivain en matière de procédure et sa maîtrise de l’ « argot » utilisé dans la police démontrent que l’auteur s’est beaucoup documenté (c'est du travail Monsieur !)

Le ton qui est donné à l’ensemble de l’œuvre confère un côté savoureux à l’intrigue.
Le commissaire Nils Kuhn est plein d’humour et de cynisme. Certaines répliques de ce dernier, qui est aussi le narrateur de l’histoire (récit à la première personne), trahissent l’influence d’un Frédéric Dard par exemple (j'avoue).

« Le cul entre deux chaises » l’auteur réussit à nous captiver avec une plume très facile à lire (encore du travail, beaucoup de travail). Le livre comporte d’ailleurs énormément de dialogues qui aèrent le texte. Voici le type de roman que l’on dévore en un rien de temps et qui se révèle être un très agréable divertissement.(Et je n'ai pas d'autre ambition que celle-ci donc merci ;-))

mardi 11 février 2014

Compte-rendu photo de cette première séance de dédicace !

Merci à Manu qui est venu couvrir l'évènement... C'était donc au café Signal, dimanche 9 février et c'était, n'ayons pas peur des mots, ma première séance de dédicace... J'espère que les prochaines seront aussi sympas (et aussi bondées ;-))





Photos Manu Remy

lundi 10 février 2014

Un article dans le Centre Presse






Une critique de Pampoune...

Pour son blog Les lectures de Pampoune...

A Paris, une femme est retrouvée poignardée. L'enquête révèlera qu'elle se prostituait. Mais ce crime ne sera que le premier d'une vague d'homocides dans le quartier de la goutte d'or. C'est au commissaire Kuhn et à son équipe de mener l'enquête. Mais le meurtrier semble avoir décidé de s'amuser avec eux...

Cela faisait un moment que je n'avais pas lu un "vrai" polar avec crime sanglant et enquête corsée et ce roman m'a rappelé à quel point j'aime ça.

Nous voici donc à Paris, au 36 Quai des Orfèvres, le commissaire Kuhn doit retrouver le meurtrier d'une prostituée sauvagement assassinée. Un crime à l'apparence banale sauf que ce premier crime va bientôt être suivi par d'autres, tout aussi monstrueux. Le terme est dit : Kuhn a à faire à un serial killer. Mais, alors que l'enquête progresse, le commissaire s'aperçoit que le meurtrier a décidé de jouer avec lui et avec son équipe : des sms, des indices laissés sur les scènes de crime... L'assassin se moque des enquêteurs et cela, eux le savent bien et Kuhn est sur les nerfs jusqu'à ce que tout bascule...

Comme je le disais, cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un "vrai" polar avec meurtrier, enquêteur et crimes sordides. Lorsque j'ai eu la possibilité de découvrir ce roman, je n'ai pas hésité. Déjà le résumé me tentait bien, je trouve la couverture superbe et, de plus, il s'agit là d'un premier roman et j'aime découvrir de nouvelles plumes.

Je n'ai eu aucun mal à me plonger au coeur de ce commissariat et très vite je me suis attachée à Kuhn malgré son caractère de cochon (oh ! tant que ça ?)et à ses inspecteurs. Lefort fait en particulier partie de ces protagonistes que j'ai beaucoup apprécié parce qu'il m'a fait rire (et ça, dans un polar tortueux, ça fait du bien) (Merci !). 

Les personnages sont vrais, tout simplement. L'image du "flic" n'est pas idéalisée : le commissaire et ses inspecteurs sont juste humains (et c'est déjà pas mal finalement !)
L'enquête par elle-même, d'ailleurs, est bien menée : des crimes sordides, des questions sans réponses, un assassin qui nargue les enquêteurs... Tous les ingrédients sont dans ce roman pour en faire un bon roman du genre et la sauce prend très bien agrémenté de condiments non négligeables : l'humour de certaines phrases, le jargon de flics, des événements anecdotiques à plusieurs reprises. 

Bon, je ne peux pas vous en dire beaucoup plus au risque de vous gâcher l'intrigue (ben non) mais en tout cas, ce roman, je l'ai avalé en deux jours. Une fois commencé il est tout simplement impossible de lâcher cette enquête avant d'en connaître le fin mot. Pour un premier roman, je dis tout simplement "Bravo". Si vous êtes à la recherche d'un bon polar qui vous tiendra en haleine, si vous cherchez à découvrir une nouvelle plume dont, je l'espère, nous n'avons pas fini d'entendre parler(moi aussi je l'espère !), n'hésitez pas. 

Chère Pampoune... Merci !

vendredi 7 février 2014

Une critique pour le blog WeLovLit


En italique mes critiques de la critique ;-)

Le cadavre d'une jeune femme poignardée à plusieurs reprises est découvert. Le commissaire Kuhn est chargé de l'enquête. L'affaire semble simple en apparence mais peu d’indices permettent à son équipe d'avancer. Quand un second corps est retrouvé dans Paris, le commissaire est certain, à ce moment là, qu'il s'agit d'un tueur en série (pas bête ce Kuhn !). Pas de temps à perdre, l'auteur nous plonge directement dans l'intrigue meurtrière découvrant corps après corps. Les cadavres sont mutilés, démembrés de façon étrange.Les descriptions nous donnent une image bien précise des scènes (Beurk). Le commissaire n'a que peu d'indices et c'est dans le flou total quant au comment du pourquoi que nous avançons sur les traces du tueur avec lui. J'ai trouvé l'intrigue bien menée : le suspense est présent jusqu'au dénouement (c'est vrai !). J'ai d'ailleurs longtemps hésité sur l'identité du coupable. Les actions s'enchaînent sans interruption donnant au récit un rythme soutenu, dynamique qui rend la lecture agréable. Kuhn est un personnage plutôt haut en couleur (mais oui mais oui). C'est un policier consciencieux, sérieux mais qui a aussi un sens de l'humour à revendre.  Ce trait de caractère est plutôt inattendu dans ce genre de récit généralement sombre (bien vu ! Ca change non ?). Mais cela donne plus de légèreté au récit. Le roman se lit facilement, sans impression de longueur. En résumé, un bon livre de thriller palpitant, avec un personnage central attrayant, qui nous sait nous captiver dans son enquête. (Cool ! Merci !)

mardi 4 février 2014

Passage radio sur Vallée fm 98.4 Mhz



Je serai l'invité téléphonique de l'émission de Nathalie Zylbermann, le dimanche 16 mars vers 10h45... On devrait y parler du Jeu de l'assassin... Enfin, je crois...

Rediffusion lundi 17 mars à 10h ;-)

Un encart dans le Berry Républicain