jeudi 23 janvier 2014

Micro critique

Merci Guy pour ces 7 étoiles... Un rapide passage sur son le site polar actuels permet de constater que c'est un très bon classement ;-)




mercredi 22 janvier 2014

Nouvelle critique de Nanou

Pour son blog Les livres et moi

Tout commence avec un cadavre affreusement mutilé sur une voie de chemin de fer à Paris, avec cette découverte, Nils Kuhn est bien loin de se douter de l'été meurtrier qui l'attend !
Lorsque les cadavres s'amoncellent sur son chemin, il est bien obligé de reconnaître qu'il a affaire à un serial killer... (Eh ! Pas bête de le commissaire !)
Pour ma part, tout a commencé par des vœux sur ma page facebook, par ce biais, je découvrais le trailer vidéo d'un livre particulièrement alléchant : Le jeu de l'Assassin .
Après d'âpres négociations (ou presque), j'ai pu me procurer un exemplaire, la lecture n'a que peu duré (oui je vous l'accorde, me connaissant c'est bon signe !).
Mon cocktail favori a encore frappé: des meurtres bien sanglants, des personnages hauts en couleur, de l'humour et un suspense qui va crescendo.(Rien à rajouter...)
Je ne peux donc que vous conseiller d'ouvrir ce roman (Yes), de vous plonger dans l'enfer d'un été caniculaire, pendant lequel un tueur oeuvre sans merci. Vous aurez alors les réponses à ces questions:
Comment le commissaire réussira-t-il à stopper l'assassin ? Combien de fausses pistes suivra-t-il pour découvrir le pot aux roses? Comment enquêter efficacement lorsqu'on est intimement convaincu de la culpabilité de quelqu'un mais que votre hiérarchie doute de vos compétences ?
Je suis pour ma part tombée sous le charme du commissaire, drôle et efficace, capable de suivre son instinct, même si celui-ci le pousse dans la voie du "banditisme".(Tu y vas un peu fort Nanou, non ?)
Ce roman est la preuve que les nouveaux auteurs n'ont rien à envier à mes "stars" en la matière (Chattam, Thilliez, Loevenbruck ou Grangé). (Bien dit !)

Outre le scénario percutant, j'ai apprécié la précision de l'enquête qui sans jamais s'éterniser dans des détails et sans tomber dans des abîmes abracadabrantes nous plonge directement quai des orfèvres, à la poursuite d'un "Jack des temps modernes". 
Je souhaite à présent deux choses: que Nils Barrellon remporte le Prix du Quai des Orfèvres (Puissent les organisateurs du concours t'entendre) et que paraisse bien vite une nouvelle enquête du commissaire Kuhn !!
Merci Nanou...

mardi 21 janvier 2014

Une critique de Justine


Je dois dire que dès les premières lignes, j'ai de suite aimé le livre et ri. (Tant mieux parce que c'est voulu !) Car oui, le personnage principal a beau être un flic, il a de l'humour à revendre ! (Comme l'auteur non ?) Et avec son métier, un peu de fraîcheur et de rire ne font pas de mal ! Au bout d'à peine dix pages, je gloussais devant ses blagues et ses réactions. Je crois que celle avec la grand-mère reste la meilleure pour moi.

Le cadavre d'une femme poignardée de plusieurs coups de couteau est retrouvé sur les rails, près de la Gare du Nord. Sur place, est appelé le commissaire Kuhn, un policier très habile, sérieux et très professionnel. Pensant à un simple meurtre, il enquête quand un second corps puis un troisième apparaissent, eux aussi poignardés, mais encore plus sauvagement. Dès lors, le commissaire est certain qu'il s'agit d'un tueur en série. Une course contre la montre est alors lancée, tandis que le tueur prend plaisir à jouer avec les nerfs du policier. Chose étrange : chaque corps semble correspondre à une prostituée.

De piste en piste, d'espoir en déception, le groupe s'occupant de l'affaire va s'enliser peu à peu. Le passé remonte, pouvant aider certains équipiers, pendant que d'autres tombent au fond du trou. Pour ma part, j'ai trouvé que l'affaire était bien tournée, même si des fois je trouvais que tout allait trop vite, que c'était trop facile. Puis, deux pages plus tard, tout tombait comme un château de cartes (ah ah), et mon sentiment évoqué plus haut partait comme il était venu. L'auteur sait manier à merveille le côté suspense (merci Justine !) plus enquête poussée à l'extrême. Sa plume est très agréable et le présent qu'il emploie nous permet de mieux nous situer et de mieux nous attacher aux événements et de mener l'enquête à leur côté.

Même si pour ma part, j'ai su très vite qui était le tueur (il faut dire que Kuhn sème pas mal d'indices dans ses pensées (c'est le problème des gens qui pensent ;-)), ça ne m'a pas du tout empêchée d'être dans l'ambiance glauque et stressante du livre. Car oui, c'est glauque, les cadavres retrouvés sont mutilés, voire démembrés, mais c'est ça qui fait un bon thriller. Au moins, on ne tourne pas en rond et c'est ce que j'ai apprécié. Ce côté du jeu du chat et de la souris était bien tourné et de ce fait, des fois c'est le chat qui se trouve être la souris et inversement. Les bouleversements que nous propose l'auteur sont très bien tournés.

La narration au présent et à la première personne du singulier nous permettent de mieux appréhender le livre et de rentrer de suite dans l'histoire (Bien vu !). Car tous les personnages cités sont intéressants à suivre : le chef de service plein d'humour ; la seule fliquette du groupe qui offre une pointe de féminité bien appréciée ; le jeune policier qui parle comme les jeunes des quartiers ; le geek qui est bien plus précieux qu'on ne le pense. Bref, une panoplie de personnages qui m'a plu. On sent que plus on avance dans le récit, plus l'intrigue est poussée et que l'auteur a fait plein de recherches qui sont appréciées avec les petites explications en bas de page. Ainsi, nous lecteurs qui ne sommes pas forcément implacables sur le sujet de la police et tous leurs termes techniques, apprenons aussi des choses intéressantes.

La fin est pour moi inattendue, dans le sens où tout arrive trop vite. Les faits et le meurtrier sont trop vite expédiés (ad patres !), et j'ai trouvé cela assez dommage. Bien que les dernières pages m'ont tenue en haleine à tel point que j'avais le cœur qui palpitait de peur de ce qui pourrait arriver par la suite, j'ai trouvé cette fin, pas bâclée, mais trop vite amenée. Cependant, les dernières paroles, surtout la dernière page, m'ont beaucoup plu et j'ai trouvé ça très mignon que j'en ai eu le sourire aux lèvres. (<3)

En résumé, un bon livre de thriller palpitant, avec un personnage principal rempli d'humour et de sarcasme, qui fait du bien dans un ensemble noir et glauque. Une course contre la montre haletante, même si on découvre très vite qui est le tueur. Malgré cela, ce dernier sème la panique dans les rangs et n'hésite pas à montrer de plus en plus d'engouement et de plaisir à tuer les prostituées. Et si tout cela n'était qu'un parcours pré-conçus ? Une fin qui arrive un peu trop vite à mon goût, mais qui n'enlève pas le plaisir que j'ai eu à lire ce roman ! (Super !)

lundi 20 janvier 2014

Une critique dans bluemoon.fr


En italique, mes critiques de la critique de Marnie sur le blog BlueMoon ;-)

Pour son premier roman, Nils Barrellon réussit l’exploit d’écrire un roman d’un classicisme confondant...(Aie ! Ça commence mal !) tout en se montrant totalement atypique par certains côtés. L’impression finale, en fait, c’est qu’il s’en est très bien sorti, puisque l’on ne parvient pas à poser ce livre avant de l’avoir terminé. (Mieux...) Mais, le moins que l’on puisse dire, c’est que cet auteur nous désarme totalement. Nous parvenons même à lui pardonner une grosse incohérence (Je tombe des nues ! Moi !? Une incohérence ???) (Pour arriver à piéger "les gentils", le "méchant" comptait sur une erreur indépendante de la volonté des uns et des autres. Le méchant est devin ou quoi ?). Et quand on pardonne les grosses erreurs, c’est que le roman est bon ! (Cool)

Classicisme ? Nous voici donc avec un commissaire du 36 quai des Orfèvres et sa petite équipe à la recherche d’un serial killer. Soulignons l’aspect très positif du scénario : la rigueur avec laquelle, l’auteur cherche à rendre une enquête crédible, la procédure, le vocabulaire, les délais, les tâches de chacun. Visiblement, il s’est très bien renseigné (exact) et parvient tout à fait à apporter du rythme à tout cela, sans tomber dans la leçon d’usage, ou le didactisme. Nous nous éloignons donc des polars à l’américaine, ou encore à un épisode des Experts, mais nous ne découvrons pas grand chose de neuf, Mallock (je ne sais pas qui c'est... à voir...) et autres ont déjà ouvert la voie à cette façon d’écrire (courts chapitre et récit raconté à la première personne).

Passons donc à ce qui est assez atypique... Notre héros n’est vraiment pas un type malheureux (non, c'est vrai), sa vie personnelle n’est jamais mise en avant (nous apprenons qu’il est divorcé et qu’il a un enfant, au détour d’un paragraphe). L’auteur fait un choix, celui de privilégier l’enquête et les caractères de chacun, la dynamique du groupe même comme les relations plus ou moins fluctuantes entre Nils (?!) Kuhn et les autres, mais jamais le quotidien ou l’intime ! Et cela fonctionne. Cela fait même du bien un peu de ne pas une fois de plus supporter un policier au mal être existentiel, avec un passif émotionnel éprouvant (ça change des polars nordiques, c'est vrai !). Le commissaire Kuhn est un blagueur (aux références qui datent souvent d’il y a trente ans ce qui nous fait sourire) très bien dans sa peau, avec des défauts et des qualités... le type agaçant et attachant comme on l’aime. (Je t'aime aussi Marnie !)

Donc, du rythme, une intrigue intéressante et bien trouvée dans un Paris au mois d’août où il fait une chaleur d’enfer, une galerie de personnages qui déambulent avec aplomb. Au final, Nils Barrellon donne l’impression d’écrire avec sérieux un divertissement tout en légèreté (c'est EXACTEMENT ça !) avec juste la noirceur nécessaire à l’exercice . Un bon premier roman à confirmer, parce que c’est vrai, on aimerait le revoir le commissaire Kuhn ! (C'est prévu !)

Merci Marnie...

mercredi 8 janvier 2014

Il est né le divin roman...

Le jeu de l'assassin est chez tous les (bons) libraires !!!

Voilà ! C'est parti ! Le jeu de l'assassin est sorti ! Vous devriez le trouver chez tous les bons libraires et/ou sur les sites de vente en ligne dont je poste les liens ci-dessous. J'attends vos critiques !



Le cadavre d’une femme poignardée avec une violence extrême est retrouvé sur les rails, près de la gare du Nord. Elle n’est que la première victime d’une longue liste. A chaque fois, les proies sont des prostituées dont le tueur sème les corps dans différents quartiers populaires de Paris.

Des meurtres sordides sans motif apparent. Le commissaire Kuhn n’a pratiquement aucun indice et l’enquête s’enlise. Jusqu’à ce que le meurtrier fasse en sorte que l’on retrouve sa trace. Il relance la partie dans un jeu macabre avec la police. Un jeu de piste infernal au dénouement inattendu…

Il assassine sans pitié. Et Paris est devenu son terrain de jeu.

Le jeu de l'assassin (ad personam) a failli décrocher le prix du quai des Orfèvres 2013.

"Il y a un très bon suspens du début jusqu'à la fin. Dès la première page, j'ai eu envie de continuer à lire et j'avais à chaque fois du mal à m'arrêter." Mélanie

"C'est un bon roman policier à mon sens on y trouve des suspects, des cul de sac bref tout ce qui met en avant le suspens.." Aurore